Découverte de la gastronomie piémontaise
J’ai participé à un voyage presse orgaisé avec la Chambre de Commerce Italienne de NIce début août.
Ainsi donc, je veux vous partager aujourd’hui mes découvertes gustatives piémontaises.
Pour tout dire, je ne veux plus manger de pizza dans un restaurant italien-français.
Bien sûr la pizza est une spécialité italienne… Mais pourquoi manger de la pizza quand la bonne cuisine italienne nous réserve un chatouillement de papilles des plus subtils ?
En ce qui me concerne, ce n’est pas que je sois fan de pizza, mais il faut bien avouer que lorsque l’on va dans un restaurant italien, on ne cherche pas trop à commander autre chose que pâtes ou pizza. Non ?
Il y a quelque temps j’étais dans le Piémont et je dois avouer que les plats délicieux que l’on nous a servis m’ont vraiment conquise.
Découverte de la gastronomie piémontaise
Tout d’abord, la fameuse » salade piémontaise »… (insalata alla piemontese). En France, on la trouve dans tous les rayons de grandes surfaces.
Toujours s’y mêle du jambon ! argrr ! Pas de jambon dans la véritable recette locale. Et c’est tellement parfait comme ça !!! Des anchois, oui, sauf si vous la servez en accompagnement de viande.
Quelque soit l’adaptation à la recette d’origine, l’ingrédient de base sera toujours la pomme de terre. Il faudra, de préférence la choisir nouvelle, bien meilleure.
Il faut la couper en petits carrés, ajouter des carottes, en carrés, également, des petits pois.
Enrobez le tout dans une mayonnaise simple : huile d’olive, jus de citron, persil et sel, du lait, même végétal, peut remplacer le jaune d’œuf.
La viande en Piémont
Alors, beaucoup feront « beurk »…
La viande se mange crue. Ils font aussi des petites saucisses de bœuf, tout aussi crues.
C’est vraiment un régal.
Rien à voir avec notre tartare, que je ne m’aventure pas à commander au restaurant en France.
En premier lieu, ce « tartare » se mange nature ou avec un filet d’huile d’olive et, si on aime, un peu d’ail. Rien de plus.
Pour ma part, je mange nature. Il faut savoir encore que c’est une viande de vache ou, peut-être de génisse, de 2 ans.
Sa couleur n’est pas blanche comme le veau, et pas, non plus, rouge, comme le bœuf. On va dire entre les deux, et fort attrayante. Il en est de même pour les petites saucisses.
Une belle découverte que j’ai bien appréciée.
Atelier de fabrication des crousets
Une spécialité très locale qui ne s’exporte pas !
En effet, soit on les mange aussitôt faits, soit il faut les congeler tout de suite après leur fabrication.
Pour l’anecdote, sachez que savoir faire des crousets est un art et une « garantie » pour votre avenir.
Effectivement, si vous êtes une jeune fille à marier… Et que vos crousets ne font pas au moins 7 plis, vous êtes mal partie !!!
Nous avons participé à un atelier, même si c’est trop tard pour moi, les sept plis… Je les cherche encore !
Voilà le geste …
Pour obtenir ces jolis plis. La particularité de ces pâtes est de rappeler le plissé d’une ancienne dentelle. Ce plissé ne peut s’obtenir qu’avec le bon geste du pouce que l’on fait trainer sur la pâte.
D’ailleurs, il me faudra encore quelques heures d’apprentissage…. Je suis quand même allée jusqu’à 6 plis !!!
Toutefois c’est très intéressant d’apprendre de nouvelles façons d’appréhender les pâtes italiennes.
Un groupe de femmes volontaires perpétuent cette tradition et ce savoir-faire. Ce sont elles qui animent cet atelier.
Elles font partie de l’association turistica pro loco de Vinadio, pour promouvoir et consever cette tradition propre à la vallée Stura.
Comme pour le pesto à Levanto, j’apprécie ce genre de découverte.
« Arione » une Institution
Ce salon de thé-patisserie est un établissement qui fête ses 100 ans cette année.
Ainsi donc, dans un quartier touristique se situe Arione, l’inventeur (brevet) d’un chocolat au rhum que l’on appelle « cuneesi « .
C’est Andrea Arione qui ouvre la patisserie à Cuneo, en Piémont, en 1923. Il faut savoir toutefois, que ce sont ses petits enfants qui continuent à perpétuer le savoir-faire du grand’père.
C’est-à-dire, des oeufs frais, du lait, du chocolat noir de haute qualité et du rhum original.
Une double meringue contient la crème chocolat-rhum.
Vous pouvez, également, en trouver avec du grand Marnier ou sans alcool : à la noisette, crème de marron ou encore café. Une tuerie en bouche.
Pour tout dire, je pourrais vous parler gastronomie piémontaise pendant encore des lignes et des lignes… Mais bon, on va s’arrêter là. En revanche, je reviendrai vous parler du mouvement international « Slow food » né à Bra.
Revoir mon article sur Levanto ICI.
En conclusion découverte de la gastronomie piémontaise
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Vous pouvez, aussi, découvrir une autre escapade gastronomique en Italie ICI.